Mobilités, immobilismes : l’emprunt et son refus
Après notre premier colloque « Autour de Polanyi. Vocabulaires , théories et modalités des échanges » en 2004, le deuxième « La Chasse. Pratiques sociales et symboliques » en 2005, le troisième Colloque de la Maison René-Ginouvès porte comme intitulé « Mobilités, immobilismes. L’emprunt et son refus ».
Préparé par une équipe qui comptait Catherine Perlès, Emmanuel Grimaud et deux jeunes chercheurs, Aline Tenu et Philippe Clancier, ce colloque obéit à la même ambition que celle qui nous animait déjà lors des deux précédentes rencontres. Il s’agit, d’abord, de réunir et d’associer, autour d’un thème, les chercheurs de la Maison René-Ginouvès. Tous, l’entreprise serait vaine, mais le plus grand nombre possible d’unités et d’équipes de la maison. Une entreprise légitime tant les questions d’emprunt – avec son corollaire, le refus – et celles de mobilité – dans toutes ses modalités – participent de bien des recherches des acteurs de la Maison René-Ginouvès.